samedi 12 septembre 2009

dimanche 6 septembre 2009

Parce qu'on n'est pas ,que, des dessinateurs à nos heures perdus,voici un très très joli poème de Nyo.

Epris-de-toi.
Le nombre de fois que j'ai pu te dire, que j'avais envie de toi, à m'évanouir, que je t'aimais plus que n'importe qui, et que ton souvenir m'aurait suffit, à être joyeux, à oublier mes ennuis. L'envie de toi de tout ce que tu es, de te faire n'importe quoi, de baiser toute l'enveloppe charnelle qui t'entoure, d'aimer tout ton toi, de te faire l'amour. Aujourd'hui je n'ai plus la flamme de l'espoir de revoir la rame qui m'emmenait chez toi au temps passé, m'apportait là bas, endroit rêvé, où toujours ma venue était appréciée..

Maintenant, et c'est vraiment insensé, la seule chose que je pourrais avancer, serait de seulement pouvoir te parler, à nouveau, en toute sincérité, tu me manque et c'est affreux, car c'est ma faute j'en suis malheureux. Le destin t'avais confié à mes soins, moi je t'ai perdu, en vrai crétin, que j'étais à l'époque où, dans ton cou ou dans tes mains, je pouvais me glisser, pour te parler de rien. Un grand écrivain de fable l'avait dit, mais je le contredis, car les hommes peuvent comprendre, que la fortune, chère amie tendre, leur apporte le bonheur, et qu'ils le perdent, étant tous sans coeur..

Ceci est encore un texte qui ne sert à rien, qui aurait pu être écris par un babouin, tellement il n'y a pas besoin, d'aller chercher plus loin, pour placer les mots, derrière les uns des autres, pour défier Hugo, comme si l'on était l'apôtre, des syllabes et des mots. Il est encore entouré, d'une certaine niaiserie, pas vraiment négative, mais si peu positive, nécessaire à l'écris, d'un texte amoureux, d'un coeur de peureux, à l'intention d'un rêve, si vite envolé, tant bien qu'on en crève, de ne pouvoir l'attraper, et que si l'on n'avait pas eu la flemme, on aurait pus l' arrêter, en disant juste je t' aime..